[BG] Lildi

Bonsoir je m’appelle lildi et je suis originaire de la jolie et paisible citée de Midgard.
Je vais vous expliquer ma périlleuse aventure qui ma beaucoup marquer lors que je n’était qu’une enfant.

Dans ma plus tendre enfance, j’ai vécu des choses qui m’ont beaucoup bouleversée et je crois que personne ne serait en mesure d’y faire face. Quand jetais petite, à l’age de 5ans je cherchais désespérément a me comprendre et a chercher qui jetait vraiment.

Je sais que mon histoire vous parait incompréhensible et irréaliste car a l’age de 5ans une petite fille normal ne cherche pas mais vis sa vie a pleine dent et ne se préoccupe pas des autres. Mais moi c’étais tout le contraire et vous aller comprendre pourquoi.

Quand jetai a l’école a l’age de 5ans tout me paraissait stupide et décevant, je sait que sait drôle pour une fille de mon age de dire sa. Mais j’avais déjà le potentielle intellectuelle d’une fille de 10ans. C’est pour cela d’ailleurs que tout le monde me rejetais.

Plus les années passaient plus ma soif d’apprendre devenait de plus en plus intense. J’avais soif d’apprendre des choses et des choses que les autres de mon âge ne pouvais même pas comprendre et des choses que les autres ne connaissaient même pas leurs existences. Je trouvait même le temps de dire que l’école ne servait a rien pour moi.

Personnes ne me comprenait, jetais isoler de tout et même ma mère qui normalement doit connaître plus de choses que moi ne savait même pas le quart de se que je connaissait. Vous savez pour une fille de mon âge qui voit sa mère (comment je puis dire) plus CONNE désoler de dire sa de ma mère mais ses le seul mot que j’ai trouver pour la décrire, ça vous fait de la peine. Plus les gens me rejetais parce que je me doute bien qu’ils étaient jaloux de moi mais j’en avait rien a faire d’eux J ETAIS SUPPERIEURE a eux et jetait bien fière de l’être. J’avais parfois envie d’utiliser ma rage et ma haine pour leur défoncer leurs faces un par un. Mais cela m’était impossible pour moi de le faire, parce que s’était des gens de basse classe je les regardaient tous avec mépris, je les haïssait parce que à la fois il me haïssait eux aussi et me rejetait de la société mais aussi parce que cette race était tellement minable que sa me faisait pitié. Je dit cette race parce que je me prenait un peut comme une sorte de DEMON. Oui, parce que j’ai toujours estimée les démons je les adoraient s’était mes idoles pour moi, ils étaient d’une classe supérieure ils étaient tellement cruelles que tout sa me passionnaient. Je voulais tellement en rencontrer rien qu’un pour leur exprimer se que j’endurais tous les jours a cause de ses pitoyables humains qui me faisait tellement enrager.

Les autres maintenant je vais les appeler la basse classe, oui ses sa le BASSE CLASSE ne me croyait pas quand je leurs parlaient que les démons existaient, bien sur ils m’avaient dit si j’avait eu des preuves et bien sur je leurs disait que non. Ah je les avait jamais autant haïs que se jour, je maudissait se jour plus que tout je voulait rien que pour cette fois que pour se moment précis qu’une colonie de démon viennent et les écrasent avec tout leur fureur qui eux aussi méprise. Tout comme moi. C’est drôle je me sent parfois tellement si proche et si semblable qu’eux que je croix faire partit de cette race. Ce jour la je pris conscience que je n’était pas du tout a ma place dans cette univers. Je décidai de tout quitter l école ou jetait et ses pitoyables humains.

Mes malheureusement une seule chose me regrettais déjà, c’était le faite de pouvoir perdre la seule femme qui m’ai jamais autant comprise et qui me chérissait tant. Mais elle ne pouvait pas me suivre car elle ne survivrait pas dans se monde de cruauté.
Ma mère était tellement sensible je l’adorait et je l’admirait rien que pour sa car les humains mon forger une carapace aussi dure que personne je dit bien personne ne pourrait jamais la percer. Je l’aimais tellement et rien que l’idée que perde cette seule femme qui mais jamais autant aimer me glaçait le sang. J’en avais des frissons partout.

Le cœur léger je décidais de prendre route, mais je ne me doutais bien que cette longue route abritait toutes sorte de danger. Après plusieurs longues et fatigantes heures de marches je pris conscience que je ne trouverais jamais réponse à ma question de savoir qui jetait. Ce n’était pas possible que cette femme que j’avait pour mère soit ma vrais mère elle était tellement inférieure a moi et si différente vraiment, je ne comprenait rien tout était devenu tellement si trouble.

Je décidais de m’allonger dans l’herbe et de pleurer. Le fait de pleurer me réconfortait car je me disait que je n’était peut être pas si différente qu’elle. Mais c’était la seule fois ou j’exprimais ma rage et ma peine dans des larmes jasant de mon corps. L’idée de savoir qui jetait m’effrayait mais en même temps me réconfortait parce que peut être que pour une fois dans ma vie je serait en fin acceptée par des gens qui sont semblables a moi. Tout a coup mon cœur se serrait très fort dans ma poitrine et pleins de questions me venait a l’esprit sans que j’en sache la cause. Tout ses questions une par une m effrayaient car je me rendais compte que je ne puis pas trouver réponse a tout.

-….si j’avait trouver réponse a ma question et si jetait accepter cher les miens me demanderaient t-ils de renier la seule femme qui ma jamais autant aimer ?

-….si je refuse est-ce qu’il la tueront ?
Est-ce que je reverrais ma mère un jour ?

Non cela était impossible je ne les laisseraient jamais faire une chose pareille. Perdu dans mes pensées je regrettait le moment l’instant d’avoir quittée ma tendre mère même si tout le monde me rejetait. Moi jetait si fière de posséder une mère comme la mienne et tout le reste mettait égal du moment ou je resterais toujours près de celle que je n’ais jamais autant aimé. Tout à coup mes larmes devinrent si chaudes car jetais si contente qu’une personne m’aiment à se point la.

Soudain j’entendit un grondement jaillissant de l’endroit ou je me tenait en se moment même. Prise de fureur je bougeaient de tout les sens comme si j’avait été frapper par la foudre. Jetait morte de peur. Je regardai de tout les sens pour voir où était la cause de ce telle grondement. Elle était la devant moi à la fois toute proche et à la fois si loin de moi comme un revenant sortit de l’au delà. Je ne savais pas comment réagir face à cette telle créature. La peur me paralysait tous les muscles de mon corps.

Soudain cette chose qui ressemblait a un loup au regard vide et figeant. Me regarda fixement. Je pris conscience que jetais en réel danger. Le loup au regard vide et figeant bondissant sur moi avec un aboiement qui retentit à des kilomètres me jeta a terre. Quand une pensée me traversa l’esprit je pensa que tout était perdu .J’allais perdre ma mère rien que le fait de ne plus jamais la revoir me frustrait. Une rage soudain me prise d’un coup, tous les souvenirs que j’avais vécus traversaient mon esprit. Je crois que je perdis connaissance car à mon réveil le loup était allongé par terre couverte de sang.

Mes mains l’étaient elles aussi je ne comprenait pas se qui venait de passer. Pris de peur je me hâtais de quitter cet endroit le plus vite possible et de ne plus jamais y revenir.
J’était encore bouleversée par se qui venait de se produire. Je décidai de trouver un endroit plus calme pour m’y reposer et reprendre mes esprits, mais je savait pertinemment que je si je trouverait un endroit paisible il ne le restera pas pour très longtemps et cette idée hantait mon esprit. Je m’allongeais donc par terre au pied d’un arbre et j’essayais de dormir un peu. A mon réveil j’était encore très perturbée par l’incident qui venait de se produire auparavant.

Je repris donc le chemin de ma route. Au loin j’aperçu soudain une silhouette tintée de rouge et de noir. Celle ci s’avançant près de moi, je sentis une chaleur que je ne peux pas décrire me traverser le tout le corps. Pour la première fois je me sentis très rassurer. J’ai hésitée à aller rencontrer la source de se phénomène puissant. Sans que je ne puis le contrôler mon corps se mis à avancer vers cette personne, comme si jetait attirée par elle par une force inconnue. Cette idée de force m’apeura mais je me rappela la chaleur qui tantôt venait de me faire un bien indescriptible. Je me laissais donc guider par mon corps sans trop me poser de questions. Me trouvant tout près de lui (car j aperçu que c’était un homme), je décidai de prendre mon courage à deux mains et de lui adresser ses quelques mots :

-….bonjour mon seigneur,

Un froid soudain me glaça le sang je revécu se qu’avant j’endurais avec ses humains que je prénomme la base classe. Cette personne m’avait ignorée, ce n’était pas possible la cause de cette chaleur si réconfortante qui était provenu de cette personne et qui réussit a toucher mon coeur m’avait ignorer ! Je haïssait se moment et pris d’une grande déception je décidai de continuer mon chemin .Soudain quand je me trouvait à quelques mètres maintenant de lui j’entendit qu’on m’appelait. Pris d’une grande joie je me retourna. Et la personne ajouta ses quelques mots qui répondirent tantôt à ma question :

-….bonjour !

Cette seule réponse réussis a me figer et à paraître ridicule en face de lui car je n’ai pas réagit tout de suite a sa réponse ! Quelques secondes après, je me suis retournée et le cœur serrer de frustration et d’angoisse je me dirigeai vers sa direction.


Devant lui je lui rétorquait ces quelques mots :

-….comment aller vous mon seigneur ?

-…très bien et vous-même ?

-…euh sa va très bien merci

-…je suis content d’avoir fait cette connaissance

-…ah bon et puis je savoir pourquoi ?

-…durant mon voyage j’ai sentit une force qui me perturbait car je n’en savais pas la cause

-…voulez vous dire mon seigneur que la cause de cette force c’est moi ?!

-…je me suis moi-même posé la question et j’en suis arrivé à cette hypothèse

-…laquelle ?

-…que vous détenez un pouvoir cachée en vous. A des moments ne vous êtes – vous pas posée plusieurs questions durant votre enfance ou même à votre adolescence de savoir que vous étiez tellement si différente des autres et que sa vous faisait tellement peur, que vous avez nié cela en vous disants que vous étiez supérieure à eux pour vous rassurez ?

-…euh c'est-à-dire que…

-…le regard que vous me jetiez me fait rappeler un vieil homme que je respectais beaucoup et qui avait un artéfact très puissant.

-...pourquoi me dite vous sa qu’est-ce que cela veut dire je ne comprend pas ??

-…vous allez comprendre patiente laisser moi terminer ma phrase voyons

-…allez y faite je vous en prie

-..Comme je le disais vous me rappeler quelqu’un qui a combattu a mes côtés. Ne vous vous êtes point demandé qui était votre père ?
-…non en fait je me suis surtout posé la question de savoir qui j’étais vraiment

-…puis-je vous demander une faveur ?

-…bien sur mon seigneur laquelle ?

-…montrez –moi le bas de votre dos s’il vous plait mademoiselle

Lildi fut surprise par cette question mais elle accepta sa demande car elle sentait que cette personne était un homme honnête. Puis elle lui répondit :

-…euh bien sur mon seigneur mais puis-je savoir pourquoi ?

-…vous allez le savoir assez vite patiente contentez-vous de me le montrer s’il vous plait mademoiselle.

-….oui

-…Il me semblait bien je sais maintenant d’où vous viens cette grande puissance…

-…comment sa ? Je ne comprends pas ?

-…vous allez comprendre patiente je vous prie. La marque que vous posséder c’est la marque des Chevaliers Dechus.

-...détrompez vous ce n’est qu’une tache de naissance rien de plus.

-…je vois que votre mère ne vous a rien dit

-…comment sa ?

-…je vais vous expliquer ne vous inquiéter pas ceci est la marque imposé par SamSam

-…SamSam ?

-…c’est homme est l’un de notre maître a tous

-…tous ?

-…oui moi et autres personnes faisons partît d’une communauté qui est simplement comme je vous l’ai expliquer Les Chevaliers Dechus.

-…

-…Chevaliers Dechus ?

-…la même que celle de votre père

Après plusieurs heures de discutions nos deux amis reprirent la route ensemble. Lildi pris la décision de suivre la voix toute tracée de son père et de donner allégeance et fidélité a sa Guild , aider par son compagnon de route.

…A SUIVRE…